Liste des 615 blagues sur le thème "Divers"
#601Divers
10 notes : 2.00 / 5 Lundi, je creuse...
Mardi, je creuse...
Mercredi, je creuse...
Jeudi, je creuse...
Vendredi, je creuse...
Samedi, je creuse...
Dimanche, je creuse...
Conclusion :
Le gag il est plat mais le trou il est profond...
Mardi, je creuse...
Mercredi, je creuse...
Jeudi, je creuse...
Vendredi, je creuse...
Samedi, je creuse...
Dimanche, je creuse...
Conclusion :
Le gag il est plat mais le trou il est profond...
#602Divers
1 note : 3.00 / 5 Pensée féminine
Mieux vaut rater un baiser que baiser un raté.
Pensée festive
Verre vide je te plains, verre plein, je te vide.
Pensée capitaliste
Ce qui est à moi est à moi, ce qui est à toi est négociable.
Pensée philosophique
La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible.
Pensée professionnelle
Le travail d'équipe est essentiel.
En cas d'erreur, ça permet d'accuser quelqu'un d'autre.
Pensée profonde
Mieux vaut se taire et laisser croire que l'on est idiot que d'ouvrir la bouche et le prouver.
Mieux vaut rater un baiser que baiser un raté.
Pensée festive
Verre vide je te plains, verre plein, je te vide.
Pensée capitaliste
Ce qui est à moi est à moi, ce qui est à toi est négociable.
Pensée philosophique
La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible.
Pensée professionnelle
Le travail d'équipe est essentiel.
En cas d'erreur, ça permet d'accuser quelqu'un d'autre.
Pensée profonde
Mieux vaut se taire et laisser croire que l'on est idiot que d'ouvrir la bouche et le prouver.
#603Divers
1 note : 2.00 / 5 Extraits du journal intime du chat :
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d'un meuble. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm... Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée "shampooing". Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ? Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent "bière". Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir "allergisant". Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est assurée. Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps...
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d'un meuble. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm... Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée "shampooing". Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ? Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent "bière". Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir "allergisant". Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est assurée. Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps...
#604Divers
0 note : 3.00 / 5 Deux copines prennent le café et les petits fours un après-midi à la maison.
C'est l'occasion de papoter...
- Ma belle-mère fait un régime incroyable en ce moment.
- Ah oui, et il consiste en quoi ce régime?
- Elle ne doit manger que des bananes et des noix de coco!
- Et alors, ça marche? Elle a perdu combien?
- Elle n'a rien perdu du tout, mais tu verrais comment elle grimpe aux arbres!
C'est l'occasion de papoter...
- Ma belle-mère fait un régime incroyable en ce moment.
- Ah oui, et il consiste en quoi ce régime?
- Elle ne doit manger que des bananes et des noix de coco!
- Et alors, ça marche? Elle a perdu combien?
- Elle n'a rien perdu du tout, mais tu verrais comment elle grimpe aux arbres!
#605Divers
4 notes : 4.00 / 5 Un Belge arrive chez le médecin :
- Ouh là là docteur, qu'est ce que j'ai mal à l'œil gauche...
- Comment vous êtes vous fait ça ? Demande le médecin
- Je ne comprends pas mais je bois tranquillement mon café et soudain, ça ne manque pas, je ressens une violente douleur dans l'œil gauche…
- C'est vraiment bizarre, je ne vois pas, s'interroge le médecin.
- Ecoutez, allez-y, buvez un café devant moi, on verra bien…
Le pauvre Belge obtempère et bien sûr : "ouille, ouille, vous voyez bien Docteur
- Oh je vois... Je vous conseille simplement d'enlever la cuillère de la tasse quand vous buvez !
- Ouh là là docteur, qu'est ce que j'ai mal à l'œil gauche...
- Comment vous êtes vous fait ça ? Demande le médecin
- Je ne comprends pas mais je bois tranquillement mon café et soudain, ça ne manque pas, je ressens une violente douleur dans l'œil gauche…
- C'est vraiment bizarre, je ne vois pas, s'interroge le médecin.
- Ecoutez, allez-y, buvez un café devant moi, on verra bien…
Le pauvre Belge obtempère et bien sûr : "ouille, ouille, vous voyez bien Docteur
- Oh je vois... Je vous conseille simplement d'enlever la cuillère de la tasse quand vous buvez !